Dans le travail, les nouveaux usages foisonnent

Nouveaux usages, multiplier les utilisations pour créer de nouvelles organisations durables

Nouveaux usages, laisser le temps faire son oeuvre

Dans les périodes de changement, à vouloir aller trop vite, on ne change finalement rien.

Nouveaux usages, laisser le temps faire son oeuvre
En effet, changer ses habitudes ne doit pas être du mimétisme mais une adaptation personnelle à une évolution de l’environnement. Les nouveaux usages nous entourent. Ils concernent la consommation, l’alimentation, le travail, les déplacements, l’environnement, les loisirs, l’administration, la finance, la formation…
La posture face à ces changements est très variable selon les individus. Les nouveaux usages naissent souvent pour combler un manque, répondre à une problématique. En fait, parmi les réponses apportées, certaines ne seront pas accueillies par le marché. Elles disparaitront ou se transformeront.
Dans l’émergence des nouveaux usages, l’idée géniale reste un fantasme collectif. Par exemple le covoiturage résume bien à lui seul ce que sont les nouveaux usages. Or, il a mis presque 10 ans pour devenir évident dans le quotidien des usagers. Ce temps a été nécessaire pour améliorer le niveau de service d’une part et pour que les usagers se l’approprient d’autre part.

En réalité, seule l’expérimentation individuelle permet de se faire une idée de l’utilité réelle du service ou du produit. Il faut tester, utiliser et observer si son usage s’inscrit naturellement dans notre propre rythme de vie. Il n’y a pas d’autres moyens pour valider l’intérêt des nouveaux usages.

En bref, le temps reste le maître et nous confirme la durabilité des nouveaux usages. Toutefois, les modèles sont agiles et une utilité non validée à priori peut le devenir avec quelques transformations. En conclusion, ne cessons pas d’expérimenter, le monde ne se crée pas en un jour !

Nouveaux usages, laisser le temps faire son oeuvre

Dans le travail, les nouveaux usages foisonnent

Travailler depuis son domicile ou depuis un tiers lieu ou de l’endroit habituel n’est plus le seul choix.

En effet, le travail à distance permet de faire les 3 selon les besoins ou les décisions de chacun. Les nouveaux usages sont à la base de la révolution des façons de travailler.

Ces nouveaux usages sont souvent jugés et pris comme un tout. En fait, plutôt qu’expérimenter, beaucoup donnent un avis sur une seule innovation d’usage. En d’autres termes, le sujet n’est pas de changer du tout au tout mais de mixer dans l’objectif de vivre mieux.

Par exemple, le travail peut pour certaines tâches s’exercer au domicile, pour d’autres en réservant un espace sur base10 et pour les échanges collectifs depuis l’entreprise. Par ailleurs, ce rythme peut être régulier ou non, planifié ou décidé à la dernière minute…

Les crises et accidents que chacun rencontre, enseignent que l’agilité est l’un des meilleurs remparts contre l’imprévu. La continuité de l’activité n’est pas négociable, elle doit être assurée.

Mixer les nouveaux usages, c’est garder les spécificités de chacun mais également les mettre à profit en fonction des situations rencontrées.

En réalité, les progrès technologiques font sauter les verrous du passé. Les nouveaux usages contournent les difficultés parfois infranchissables il y a peu encore. Tout va vite et l’expérimentation est là encore la meilleure alliée.